Carole Delga se positionne sur le train Aubrac
Bonjour à tous,
Aujourd'hui, le train TET Aubrac est très sérieusement menacé d'être transféré sur route, et ce, dans un futur proche.
En effet, Alain Vidalies, secrétaire d'État chargé des transports, a annoncé le 22 Juillet dernier que l'État demande le transfert aux régions concernées d'un grand nombre de TET, dont l'Aubrac.
Carole Delga, présidente de la région Occitanie – Pyrénées-Méditérannée, s'est exprimée à plusieurs reprises sur le TET Aubrac. Dans un article du Midi Libre, elle déclare : "Pour le train Aubrac, c'est plus compliqué [que pour le Cévenol, qui est maintenu]. Moi je suis opposée à la desserte par bus."
Elle rappelle également dans le journal "48 Info" son objectif de proximité avec les citoyens locaux : "Je fais de la politique pour les gens", et ajoute "C'est le terrain qui m'a faite, les mandats locaux".
Dans un autre quotidien Lozèrien, elle souligne également au sujet du TET Aubrac : "Pour l'Aubrac, la situation est plus tendue". Elle ajoute "Le gouvernement souhaite un basculement sur la route avec des bus. J'y suis clairement opposée et je me battrai jusqu'au bout".
Ces précisions sont encourageantes et donnent de l'espoir, et tous les défenseurs de ce train incitent la région à poursuivre ses efforts, et aimeraient avoir des preuves concrètes, comme par exemple un engagement financier de la région dans le renouvellement de la voie sur la ligne nationale Béziers – Neussargues.
Une chose est sûre, ces déclarations contrastent avec les propos de Patrick Mignola, vice président chargé des transports en région Auvergne – Rhône-Alpes, dans un interview à la Montagne du 4 Août dernier : "Pour l'Aubrac, je ferai simplement observer que la ligne dispose d'une bonne alternative avec les autocars". Ceci revient donc à dire que les territoires du Massif Central seraient traités comme des territoires de seconde zone, justement.
Il faut continuer à se mobiliser pour que les régions et que les politiques insistent afin que l'État continue à exploiter cette ligne d'intérêt national, indispensable à l'équilibre et au désenclavement des territoires traversés !
Aujourd'hui, le train TET Aubrac est très sérieusement menacé d'être transféré sur route, et ce, dans un futur proche.
En effet, Alain Vidalies, secrétaire d'État chargé des transports, a annoncé le 22 Juillet dernier que l'État demande le transfert aux régions concernées d'un grand nombre de TET, dont l'Aubrac.
Carole Delga, présidente de la région Occitanie – Pyrénées-Méditérannée, s'est exprimée à plusieurs reprises sur le TET Aubrac. Dans un article du Midi Libre, elle déclare : "Pour le train Aubrac, c'est plus compliqué [que pour le Cévenol, qui est maintenu]. Moi je suis opposée à la desserte par bus."
Elle rappelle également dans le journal "48 Info" son objectif de proximité avec les citoyens locaux : "Je fais de la politique pour les gens", et ajoute "C'est le terrain qui m'a faite, les mandats locaux".
Dans un autre quotidien Lozèrien, elle souligne également au sujet du TET Aubrac : "Pour l'Aubrac, la situation est plus tendue". Elle ajoute "Le gouvernement souhaite un basculement sur la route avec des bus. J'y suis clairement opposée et je me battrai jusqu'au bout".
Ces précisions sont encourageantes et donnent de l'espoir, et tous les défenseurs de ce train incitent la région à poursuivre ses efforts, et aimeraient avoir des preuves concrètes, comme par exemple un engagement financier de la région dans le renouvellement de la voie sur la ligne nationale Béziers – Neussargues.
Une chose est sûre, ces déclarations contrastent avec les propos de Patrick Mignola, vice président chargé des transports en région Auvergne – Rhône-Alpes, dans un interview à la Montagne du 4 Août dernier : "Pour l'Aubrac, je ferai simplement observer que la ligne dispose d'une bonne alternative avec les autocars". Ceci revient donc à dire que les territoires du Massif Central seraient traités comme des territoires de seconde zone, justement.
Il faut continuer à se mobiliser pour que les régions et que les politiques insistent afin que l'État continue à exploiter cette ligne d'intérêt national, indispensable à l'équilibre et au désenclavement des territoires traversés !
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